Assez d’accord avec l’article mais il faut quand même prendre des pincettes avec les US et le Royaume-Uni qui ont des dettes privées gigantesques, bien plus élevées que la dette publique. L’auteur pense donc que c’est une mauvaise chose d’avoir un état qui croit grâce à la dette mais qu’il n’y a pas de problème si le secteur privé le fait.
La Suède a entamé ses réformes après une dévaluation de 20% de sa monnaie, chose que la Grèce ne peut pas faire si elle reste dans l’euro.